SYMPHONIE CÉLESTE

Symphonie céleste
"Symphonie céleste", Huile sur Toile 100 x 73 cm © Peinture de François SCHLESSER

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L'univers contient un nombre incalculable d'étoiles.
Ce nombre est tellement grand qu'il pourrait être presque considéré comme infini si nous pouvions le connaître exactement.
Si en plus il existe un Super-univers, comme décrit par la théorie des cordes et des branes, dans lequel se forment un nombre énorme d'univers,
dont certains d'entre eux contiennent également comme le notre des étoiles etc..,
alors est-il raisonnable d'admettre qu'un nombre infini de possibles existent,
avec ses infinis paysages cosmiques nées de configurations planétaires, stellaires, galactiques et autres inconnus... inconnaissables?

Penser, imaginer, visionner, recevoir, ou voir intérieurement un de ces paysages, et le peindre,
n'est-ce pas révéler par l'art l'existence d'un endroit possible situé dans l'infini, quelque part dans un des espaces-temps d'un Super-Univers?
Inversement, cet endroit bien réel de cet univers situé quelque part dans l'absolu,
serait-il possible qu'il ressemble fortement au produit d'une vision intérieure peinte,
comme celle que j'ai réalisée sur cette toile dont le titre est "Symphonie céleste" (voir l'image ci-dessus), et comme bien d'autres toiles que j'ai également réalisées?

Parce que finalement, à force de réfléchir à ma façon de percevoir le monde, extérieur et intérieur,
je me demande toujours de quelle nature est faite ma connexion personnelle à l'univers, à l'absolu, au réel, et à la conscience,
connexion qui existe bel et bien et qui me permet de faire ce que je fais de ma vie depuis toujours.

                                                                                                                                                       François Schlesser, 3 décembre 2022